L’auteur pointe l’impact délétère de la criminalisation des drogues dans la lutte contre le sida. Il souligne l’importance d’une offre de réduction des risques combinée, décrit la situation dans les pays de l’Europe de l’Est et en Afrique, montre la vulnérabilité encore accrue de certains groupes d’usagers. Il aborde enfin le rôle des chercheurs et la nécessaire participation des usagers à la mise en place de programmes.